La Comtesse Graziani ou les triomphes du proxénétisme

parution janvier 2000
ISBN 978-2-88182-338-6
nb de pages 112
format du livre 140 x 210 mm
prix 23.00 CHF

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Jean-Jacques Langendorf

La Comtesse Graziani ou les triomphes du proxénétisme

biographie

Né en 1938 en Haute-Savoie d’un père émigré allemand et d’une mère suisse, Jean-Jacques Langendorf est élevé à Genève dans la maison d’Ernest Ansermet, qui comptera beaucoup dans son éducation.  Historien et romancier, Langendorf a séjourné en Afrique du Nord et au Proche-Orient, pour finalement s’installer au château de Dross en Basse-Autriche. Spécialiste de la pensée militaire allemande, arabisant, anarchiste dans sa jeunesse, biographe d’Ansermet et du général Dufour, il est aussi entre autres l’auteur légèrement ironique d’un chef-d’œuvre de rhétorique et de stratégie Eloge funèbre du général August-Wilhelm von Lignitz et d’un récit érotique La Comtesse Graziani

La Nuit tombe, Dieu regarde (2010, Zoé poche)

La Nuit tombe, Dieu regarde

« Certains fumaient, appuyés à la rambarde, d’autres s’entretenaient à voix basse, comme si la mer eût été une cathédrale. »

Les Dictées de la tortue

Ces dix nouvelles de Jean-Jacques Langendorf sont des contes du secret. Mais qu’il s’agisse de secrets d’État ou de secrets intimes, c’est de leur révélation qu’il s’agit. Des univers d’apparence invulnérable et minutieusement construits s’y dégonflent à la première piqûre d’épingle.

 

Romancier et historien, l’auteur invente un monde où la musique  et l’histoire forment la toile de fond du fantastique. C’est ainsi que dans «Les Dictées de la tortue» l’un de ces animaux, qui a rencontré Napoléon à Sainte-Hélène, prend la parole et livre les derniers états d’âme de l’Empereur. Ailleurs, c’est dans un décor romain antique que «Destin d’ours» dénonce l’opportunisme humain. Et dans «Brillantine», un destin de pianiste devient un hymne à la musique.

 

Ici, on chevauche une œuvre où s’enchevêtrent bonnes fortunes et mauvais sorts, mais où ceux qui meurent pour rien nous invitent à rire de la Camarde.